Hors de Paris, point de salut.
Commentaire de l'auteur
La province est triste, on s’y ennuie ferme. (PPPP)
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Transcript
Case 1:Bird 1: Mon cher ami, on m'a dit que les provinciaux ne sont pas des gens très agréables. Case 2:Bird 1: Il parait que même les curés ne veulent plus s’installer chez les paysans. Case 3:Bird 1: Mon Dieu, quelle chance nous avons d’être parisiens.Bird 2: Hum... À qui le dites-vous.
12 heures après cette BD, seulement 5 ♥ !
Voilà bien la preuve que les provinciaux sont désagréables.
On peut constater qu’il n’y a que 5 vrais parisiens fréquentables parmi nous.
😎
Je me demande si dans les campagnes, les gens savent lire et écrire ?
😆
Tiens, voilà Nobody qui verse dans le Club des cinq… lequel est niché au rayon littérature jeunesse. Quant au très prisé, très huppé club des cinq vrais parisiens, je ne sais.
Justement, à ce propos, papotant sur le pont supérieur du bateau, une corse pur jus me disait :
Ah ces parisiens ! D’une prétention, d’une arrogance… en fait je les apprécie… peu, pas du tout.
Quelle chance nous avons d’être ici. Hum… à qui le dites-vous lui ai-je répondu ! 😆
Est-ce la capitale qui évince la province ou l’inverse ? Hum à méditer. Quant aux curés qui seraient en sous-effectif… Nous n’en avons cure, aucun péché capital à nous reprocher.
21 heures après, seulement 5 + 1 = 6 cœurs !
Au vu, au nombre de coms et cœurs, absent est votre fan(e) club. Fait-il acte de présence au club Med… je ne sais quand je me dévoue, fais acte de charité, c’est bien parce que c’est vous.
Vélo, photos, pédalo… Avez-vous songé à vous recycler ?
Mais non, je déc… quoique !
Allez, sans rancune aucune. La petite provinciale vous salue une dernière fois. Pace et salute môsieur le capitaleux.
Aux niçois qui mal y pensent !
Il est manifeste que les parisiens ne sont pas sur ce site pour la bonne raison qu’ils travaillent, EUX !
Il faut bien entretenir les provinciaux, principalement du sud de la France qui glandent et passent leur temps à faire des BDs stupides.
Il faut bien que les Parisiens travaillent pour payer la retraite des gueux !
En ce moment ils m’emmerdent à labourer et replanter leurs friches !
Mais Môssieur, « Si la merde valait de l’ or … les pauvres n’ auraient pas de trou du cul ! »
Quand tu vois la gueule du Parisien pure souche tu te dis que sans le métissage la france serait mal barrée.
(Tout cela n’est pas de moi bien sur !)
Bien à toi @Nobody. Et un cœur bien sur !
PS: Mes hommages à « La Dame » qui se prélasse (encore ?!) dans le maquis 😉
Je confirme … on s’ennuie « ferme » à la cambrousse !
Aaaah ! Monsieur de Verd0t,
Votre cœur, sacrebleu ! Me va droit au cœur
Car c’est le septième, un chiffre porte bonheur.
Je reconnais en vous le Parisien de franc lignage,
Droit et généreux pas comme Président volage
Quant à nos gens des provinces, sans ratiches
Qu’ils travaillent plus, pour devenir plus riche
Très cher Verd0t, de concert à l’unisson
Crions au Président « Casse-toi pôv con » !
Nobody de Pampluche (Intra-muros, s’il vous plait).
Aux capitaleux qui mal y comprennent… et à qui il faut esssspliquer longtemps !
Et donc si je suis bien la logique du raisonnement :
Il est manifeste que les parisiens qui sont sur ce site, plus précisément sur ce BD ne travaillent pas pour la bonne raison… qu’ils y sont.
Il est manifeste que les provinciaux ne sont pas vissés à leur écran toute la sainte journée EUX ! Et sont accueillants et chaleureux EUX !
Il faut bien clouer le bec aux capitaleux, principalement du Nord de la France qui glandent et passent leur temps en cour(s) de (ré)créations.
Il faut bien soutenir les provinciaux, principalement du Sud de la France qui bossent et perdent leur temps à faire des coms intelligents… EUX !
C’est dingue cette propension toute parisienne à dénigrer les gens. Mais quelle mouche les pique ! Bzzz, à ce propos le moustique tigre est arrivé en Ile de France. C’est dengue !
Que faisiez-vous tout l’été ?
Je coinçais la bulle, je bird dessinais.
J’en suis fort aise et bien maintenant grattez !
Cher Verd0t…mi,
Me voici de retour sur le continent
Non, je ne me prélasse plus, n’en déplaise à certain médisant.
Voyez comme ce malappris me mal traite, comme il me mal mène.
De fait, tout lasse, tout passe, tout casse
Et tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse.
Je vous salue, bien des choses à vous, vrai gentil homme des bords de Seine.