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BD inédite
28 J aime ! 25

Merci pour ce moment de modération

Merci pour ce moment de modération

Commentaire de l'auteur

Cette BD se veut humoristique et ne juge pas le fond (de culotte) du bouquin... Par ailleurs, je ne suis pas professeur d'orthographe et je peux me tromper ; les signalements d'erreurs ou d'autres corrections oubliées sont les bienvenus. J'essaie simplement de défendre la langue française qui le mérite bien ;) Corrections : je me réjouie : réjouis est-ce moi qui ait changé : ai de beaux moments, j'en aurai vécus : vécu. Si le complément d’objet direct est « en », le participe est invariable j'aurai dû comprendre : aurais une heure et demi : demie il sert autant de mains : serre ! sa franchise m'avait plue : plu (COI) de vrais gens : vraies (les adjectifs placés immédiatement avant gens se mettent au féminin) la mairie de La Guenne : Laguenne on-dits : on-dit (invariable) Puis un deuxième et un troisième messages . message ? (pas sûr) ses arrièrespetits-fils : arrière-petits-fils Lybie : Libye Elle sont violées dans chaque village : elles je lui rend hommage : rends l'excitation m'a passée : passé, peut-être "m'est passée" ? après m’avoir réservée le même traitement : réservé (COI)

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Transcript

Case 1:Bird 1: Bonjour, Valérie ! Je te souhaite la bienvenue chez les birds. Moins on fait de fautes d’orthographe... Case 2:Bird 1: et mieux c’est... Au delà de deux fautes, ton livre est annulé par la modération. Tu peux le refaire après avoir... Case 3:Bird 1: ...cliqué sur supprimer. Tu trouveras les corrections ci-dessous.Encouragements pour tes prochaines créations !

28 réponses à “Merci pour ce moment de modération”

  1. Nobody dit :

    @jmf,
    Un cœur pour la recherche mais il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin ; quand attaques-tu la correction de « À la recherche du temps perdu » (Proust 1,5 million de mots).

    Et puis il y a aussi :
    «Vingt ans après» d’Alexandre Dumas : «Un remords traversait l’esprit de d’Artagnan, quoique son cœur ce (correction : se) fût fort racorni.»
    «La cousine Bette» de Balzac : «Ta pension de retraite, et le peu que j’ai, en mon nom, nous suffira (correction : suffiront).»
    «La chartreuse de Parme» de Stendhal : «Il aura le chagrin de se voir primer (correction : primé) par tous les dévouements plébéiens.»
    «Les misérables» de Victor Hugo : «Au bruit qu’il fit en marchant, le vieux (correction : vieil) homme assis tourna la tête.»
    «À rebours» de Joris-Karl Huysmans : «Il compléta l’apprentissage de cette science qu’il avait commencée (correction : commencé) au château de Lourps.» Paul Carcenac.

    Et Molière : « Le Misantrope ».
    C’est ainsi qu’il écrivait le titre de sa comédie alors que ce mot existe depuis le XVème siècle.
    Ne doutons pas que cette faute a dû nuire considérablement à sa carrière. 😆 😉

  2. Nobody dit :

    Allons Pioum, le provocateur ici, c’est moi. 😆 😉

    Ce matin sur France24… quelque chose comme ça :
    « L’otage britanique a été décapité ».
    Où se trouve l’importance de l’info, dans la forme ou dans le fond ?
    Avec deux T l’otage serait-il toujours vivant ?

  3. jmf08 dit :

    Nobody, avec moins de « n », sûrement !

  4. Flocal93 dit :

    @ Nobody: et avec un seul T, est-ce que ça le ressuscite, l’otage ? Alors, autant l’écrire comme il faut. 👿 ♥

  5. Flocal93 dit :

    L’esprit vengeur me fait penser: « Est-ce là le degré Zorro de l’écriture ? »
    Les paroles s’envolent et les aigris restent… ♥

  6. PoLoMcBee dit :

    très bonne adaptation !!! et le cours, remarquable.
    (j’ignorais la règle du « en », bien que la pratiquant sans savoir)
    Amicalement aux défendeurs bienveillants de la langue française
    PoLo McBEE

  7. Nobody dit :

    Et si un avocat fait des fautes dans ses écritures, son client va-t-il être condamné plus lourdement ?
    Vous vous trompez de combat !

    Voilà ci-dessus une belle brochette de gens qui passent leur temps à solliciter abusivement le fondement des diptères. 😆

  8. DOmino dit :

    Voici jmf un accueil… pour le moins original qui met les barres sur les T et les points sur les I. 🙂
    En réponse à vos deux points d’interrogation(s) : aucune hésitation, vos propositions sont correctes. Point à la ligne.
    Et au vu de cette liste qui serait non exhaustive (ceci au conditionnel n’ayant pas lu l’ouvrage), on pourrait se demander en toute naïveté si l’auteure a bénéficié des services d’un/d’une correcteur/correctrice. 😆
    Mais des droits et des devoirs d’auteur… on est en droit de penser que les premiers priment sur les seconds. Au-delà de l’orthographie, les pires erreurs sont les fautes de goût mais des goûts et des couleurs… des gens.
    Ceux et celles qui, le verbe et l’adjectif hauts pêchent au féminin ou plus vulgaires pêchent au masculin, lesquels, lesquelles aux participes passé et présent dévoilent leurs points faibles sans vice ni gène et en toute liberté.
    Un ♥, nul besoin de le préciser… envers cette vieille dame, langue française qui nous tient à cœur et qui appelle à un minimum de correction parce qu’elle le vaut bien et même plus… tout comme ce BD mérite d’être au Top… il sera exactement 18 H 25… 26 minutes. 😉

  9. Nobody dit :

    Flattez-vous, congratulez-vous, ratiocinez surabondamment, vous les bobos avec votre orthographe, irrationnelle et complexe, gargarisez-vous de vos règles grammaticales, la jeunesse progressiste me donnera raison.
    Car prenez garde, v’la la jeun’garde qui bouleversera vos archaïsmes prétentieux.

    Vous n’êtes capable que d’observer le flacon alors que c’est le nectar qu’il convient de gouter.

    Tiens, si je ne me retenais pas, je finirais par me mettre en colère. 😆

  10. jmf08 dit :

    Se faire traiter de bobo par Nobody, c’est comme »se faire traiter de pédé par Jean-Pierre Coffe ou comme se faire traiter d’alcoolique par Philippe Léotard ou de brigand par Escobar » (Philippe Vandel, «Nulle part ailleurs» 1993) 👿

  11. Trevor dit :

    Qu’est-ce qu’il a le bonobo ?
    Il veut croquer du modo sauce barbecue ?
    Ah ah ah ah ah …….. !!!
    Il a mis son slip rouge par dessus ses collants (empruntés en douce à Mme Nobody) pour faire son Super-man ?
    Tu veux que je te prête mon Kway rouge pour le nouer autour du cou et faire ta cape ?
    Attention aux sphincters si tu rentres ton ventre !!

    😆

  12. DOmino dit :

    Les grands et les petits bobos :

    ♫♪Allo Maman bobo
    Comme tu m’as fait, j’suis pas beau
    Allo Maman bobo
    Un bonobo traite les zozios de bobos.

    Ce n’est qu’une expression poulbot
    Hum… à prendre comme un compliment
    Ce n’est pas un gros mot mais un joli mot
    Déjà présent dans Bel Ami de Maupassant.

    Il y a les bobos et puis les bonobos
    Tous deux amateurs de plaisirs à gogo
    Bobo aime le beau, c’est là son moindre défaut
    Bonobo, il ne faut le prendre à la lettre ni au mot.

    Haro sur le bobo ! Le bobo a bon dos, lui l’auteur de tous nos bobos
    Mais nous sommes tous coupables comme le chante Renaud :
     » Ma plume est un peu assassine pour ces gens que je n’aime pas trop
    Par certains côtés, j’imagine que je fais aussi partie du lot.  »

    *******

    Si important que fond et forme soient liés ?
    Coupable ou innocent… du sort du condamné
    La mise en forme du jugement est à une virgule près !

    Flacon, nectar, contenu, contenant…
    Comme dirait Musset : Aimer est le grand point, qu’importe la maitresse. Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse.
    Plaisir d’offrir… un diam dans du papier journal, qu’importe le présent. Qu’importe le ruban pourvu qu’il y ait délicatesse… du sentiment.
    😉

  13. Nobody dit :

    La machine DOmino est relancée…
    Les inquisiteurs de la PBPO (Police de la Bien-Pensance Orthographique) sont réunis au complet.

    Seul contre tous, cheveux au vent, chemise ouverte et dos au mur.
    Tirez au cœur, misérables que vous êtes !
    Et voyez comme se meurt un brave !

    Vous avez raison, nous sommes sur un site de branquignoles, pas de penseurs.
    Inutile donc de répondre au véritable sujet, à savoir :
    Quel est le plus important, le vieux pot ou la bonne soupe ?

    Continuez de disserter sur le vieux pot, je me charge de la bonne soupe.

    Heureusement que des gens comme Ph. Bouvard, J.F. Kahn, sont de mon côté.
    Mais, que voulez-vous, les intervenants ici ont sûrement plus de talent et d’œuvres littéraires à leur actif que ces personnages.

  14. jmf08 dit :

    Nobody, le contenant compte autant que le contenu ; c’est sûr, à Paris on déguste le Champagne dans une chope à bière , après avoir fait péter bien fort le bouchon pour épater les voisins !

  15. Nobody dit :

    – NON mon petit Monsieur !
    À Paris on déguste le champagne dans la pantoufle de vair de nos Cendrillon.
    Et même si nos princesses écrivent « félation » avec un L, aucun d’entre nous n’aurait l’outrecuidance de leur en faire remontrance.

    – OUI mon petit Monsieur, votre impéritie messied à votre âge de rétrignoler nos usages parisiens.

    Mais nous avons la même vision exégétique du français, n’est-ce pas ?
    😆 😆

  16. DOmino dit :

    Aucune relance, juste un sursaut avant abandon et que la machine ne soit hors service.
     » Quel est le plus important, le vieux pot ou la bonne soupe ?  » Les deux, l’un ne va pas sans l’une, l’autre, tant et si bien que c’est dans les vieux pots… vous connaissez le dicton. 🙂
    Mais l’heure n’est pas à sourire, l’instant est dramatique et le coco sérieux, happé dans son envolée lyrique, verse dans le mélo… pour un peu, on verserait une larme… de crocos.

    Un mot sur les références proposées : Bouvard c’est bien le guignol, le bobo parisien à la tête d’une superbe collection de voitures de luxe… lequel paradait sur la Côte au volant de grosses cylindrées ?
    Chacun son pêché mignon, le tout étant de ne pas prendre la grosse tête ! 😆
    La réforme ne date pas d’hier qui a fait et fait encore couler de l’encre avec tout son lot de défenseurs et de détracteurs.
    Pour que d’éventuels lecteurs puissent apprécier, voici quelques avis passés (source cours 2008- La nouvelle orthographe 1990). Mais auparavant LE MOT DU PRÉSIDENT, J. Dutour :

    « J’ai longtemps rêvé sur le mot alcool. C.est un très beau mot ; j’oserai presque dire un mot grisant. Apollinaire était de mon avis, je suppose, puisqu.il s’en servit comme titre d’un recueil de poèmes. Ma rêverie était teintée de tristesse. Je me demandais quand on allait dire « alcoule ». Cela arrivera assurément, puisque le langage anglo-saxon prononce ou le double o, et que la moutonnerie (ou moutonnité) française commence à faire de même. Durant les grandes querelles sur la réforme de l’orthographe, j’eusse aimé que les ardents réformateurs se préoccupassent des mots étrangers qui sont de plus en plus nombreux dans notre langue, mais ils ne s’attaquèrent, hélas ! qu’à nos vieux mots vénérables : ils leur enlevèrent leurs accents circonflexes et leurs lettres prétendument inutiles, comme on arrache des statues ou des mascarons à une façade classique. Pourtant, il y avait à faire avec des vocables exotiques tels que « look », « cool », « business », « show », « clash », « crash », « patchwork », « jackpot », « feeling », « roots ». Ce serait une excellente idée, à mon avis, de les transcrire phonétiquement. Cela donnerait : louque, coule, chaud, crache, routes, etc. En d’autres termes, cela leur enlèverait leur magie et personne ne voudrait plus les employer. […]
    Que c’est charmant, mon Dieu, le riding-coat naturalisé en redingote, le bowling green en boulingrin et le duc de Buckingham en Bouquinquant. Le palais Bouquinquant, à Londres, nous serait aussi familier que la colonne Vendôme si nous consentions encore à l’appeler ainsi. »

    Renaud :
    « Je suis résolument contre toute réforme de l’orthographe, cette noble, capricieuse, riche, déroutante vieille dame. Réformons le système d’éducation plutôt que de vouloir niveler par le bas en éliminant tout ce qui fait la complexité, le charme, l’absurdité mais surtout la richesse de la langue française. Réforme ou pas, elle restera de toute façon difficile à apprendre, alors autant conserver la difficulté du mystère et de l’illogisme. Expliquez à un Américain que le mot « ami » prend un E au féminin et un S au pluriel, il se demandera forcément un jour pourquoi « la foi » ne prend pas d’E, le « foie » en prend un E et « une fois » prend un S. Ce jour-là, dites-lui que c’est là le charme de notre langue et que s’il n’est pas content il n’a qu’à apprendre le russe, on ne va pas se laisser emmerder par des gens qui parlent la même langue que les Anglais !

    J.F Khann (JFK pour les initiés ? ) :
    « Archaïque, irrationnelle et complexe, très évolutive jusqu’à ce que de vieilles barbes la pétrifient en l’état, l’orthographe constitue à la fois un frein à l’intégration culturelle des populations immigrées et le plus important facteur de recul de l’enseignement du français dans le monde. Qu’importe ! L’élite tient à son code autoprotecteur. Et puis, on en a bavé à l’école, on ne va tout de même pas accepter que nos enfants n’en bavent pas à leur tour. »

    B. Pivot :
    « L’orthographe ne nous prend pas en traître. Avec ses deux h, elle annonce qu’elle n’est pas commode, qu’elle va nous compliquer la vie. […]
    L’orthographe est pour l’essentiel très logique. Quand on ne sait pas, on a beaucoup plus de chance de ne pas se tromper en optant pour la logique que pour l’extravagance. Si je devais désigner un mot dont l’orthographe me paraît être un modèle de rigueur, de bon sens, d’adéquation entre son écriture et la chose désignée, je choisirais libellule, joli et fragile insecte au vol saccadé, doté de quatre ailes et qui s’écrit avec… quatre l. Guidé par le même souci de faire coïncider l’écriture d’un mot avec son image, j’aurais bien ajouté un quatrième p à hippopotame pour assurer à l’animal plus de stabilité sur quatre pattes. »

    P. Bouvard (source Défense de la langue française – 1996) :

    « La France se console de ne plus être une puissance coloniale en parlant le petit-nègre. Un signe ne trompe pas : la disparition croissante des articles définis ou indéfinis dans le langage administratif d’abord et dans les conversations privées par voie de conséquence. Les prépositions se trouvent également mises à l’index.
    D’où ces « livraison bagages », « accès quais », « délivrance billets » dont les aéroports et les gares sont prodigues. Un panneau indique « bureau percepteur », un autre annonce « retrait fonds ».
    Sur la route, même chanson : « direction autoroute », « centre ville», « région Île-de-France ».
    Cette simplification-trahison, ce désir d’économiser les mots en attentant gravement au génie de notre langue, en supprimant les nuances de la pensée, l’exactitude de l’expression et les temps morts indispensables à l’harmonieux fonctionnement de la sensibilité et de l’intelligence me poussent à adresser à M. François Bayrou ce télégramme alarmiste : « Y a pas bon français, Missié Ministre Éducation. Français écorché comme missionnaire après cuisson. Technocrates responsables. Décadence suit. »

    La littérature constitue le dernier refuge des phrases complètes. Mais pour combien de temps ? Un jour viendra, n’en doutons pas, où le style télégraphique donnera le ton à la République des Lettres et où les alexandrins (qui en trousse encore aujourd.hui ?), amputés de leurs accessoires explétifs, ne dépasseront plus dix pieds. Le regretté Roland Barthes ne sera plus là pour noter la dépoétisation du discours amoureux engendrée par le sens du raccourci, et ce désir forcené de gagner du temps, injustifiable à une époque où l’espérance de vie ne cesse d’augmenter. On peut prévoir dans le domaine du dialogue affectif un retour aux sources de la rhétorique sylvestre : « Toto aime Titine », « Mimi belle poitrine ». On remarquera au passage que ceux qui gravent leurs sentiments à la pointe du canif dans l’écorce des arbres ou à l’aide d’autres outils dans des matériaux moins
    tendres, possèdent des raisons d’être succincts dont ne peuvent exciper les milliers de fonction-naires disposant de stylos courant tout seuls sur le papier glacé à en-tête d’une république bonne fille.
    Les ravages de la frénésie elliptique sont imprévisibles. Dans ce domaine, comme dans beaucoup d’autres, les gros caractères finissent toujours par influencer les petits.
    Entendez par là que les inscriptions ont plus de poids que les belles-lettres, et qu’un jour prochain les lycéens, les citoyens et les journalistes finiront par employer les tournures popularisées par les poteaux indicateurs, les slogans publicitaires et les formulaires officiels. Ce jour-là, Molière quittera l’orbe du Roi-Soleil pour la panoplie des vieilles lunes, et Flaubert lui-même, si soucieux de ne pas employer de vocables inutiles, sera tenu pour un incorrigible phraseur. »

    Moi-même étant encline à des rectifications de l’orthographe mais pas à son appauvrissement. Il semblerait que nous parlions le même langage… malgré un apparent dialogue de sourds, ainsi incorrigible provocateur, pour la sérénité du fil (qui sous le poids des coms ploie dangereusement) le débat n’aura pas lieu. Merci pour ce moment… d’égarement ainsi qu’à jmf pour l’hébergement au logis.

  17. jmf08 dit :

    Merci, DOmino, on ne saurait mieux dire et je vous mettrais bien un ♥ si l’on ne se trouvait sur ma BD !
    (J.-F. Khan ne vous en voudra pas et ne demandera pas : « Pourquoi tant de « n » ?) :mrgreen:

  18. Nobody dit :

    Bande d’hypocrites !
    Personne n’a lu jusqu’au bout un texte bien trop gonflant. 😆 😆
    Par contre, je constate que les donneurs de leçons orthographiques ont des problèmes avec l’étendue de leur vocabulaire.

  19. DOmino dit :

    Un petit tour ici, histoire d’avoir le mot de la fin. 😳

    … et en plaise à certain(e)s. Merci Pioum pour ma sœur jumelle, il est vrai que l’on se ressemble comme deux gouttes d’eau. 😉

  20. DOmino dit :

    Un cœur à placer jmf… vous pouvez toujours le placer sur mon petit dernier. 🙂
    Horreur, que lis-je ! Un n s’est glissé subrepticement à l’insu de mon plein gré et ce à l’instar de Nobody, comme c’est bizarre… comme un pavé dans la mare dirait la canne. 😉

  21. jmf08 dit :

    Bin oui ! DOmino et c’est Kahn pas Khan, ah l’orthographe ! 😉

  22. DOmino dit :

    Nobody à qui je dis : ce n’est pas tout de posséder le vocable d’un notable… à l’image d’un instrument, encore faut-il savoir l’accorder… pour mieux en jouer !

    « Seul contre tous, cheveux au vent, chemise ouverte et dos au mur…  » Ainsi se présentait le courageux contestataire devant le peloton d’exécution.
    Yeux bandés, pieds et poings liés ? L’histoire ne le dit pas… quoiqu’il en soit, à tomber par terre, à ne plus se relever et son âme d’errer ad vitam aeternam.

    De tous côtés, les balles fusaient
    Peu après, le temps du sablier écoulé
    Le preux chevalier des lettres s’écroulait.
    On entendit des pleurs, des gémissements
    On cria à l’erreur, on cria même au meurtre
    La chose était entendue : par ses agissements
    Assurément brave, il était tout sauf un pleutre.

    Fier et arrogant comme Artaban
    Valeureux tel un cerf qui se meure
    Solitaire comme le dernier des Mohicans
    Le vif, l’ardent pourfendeur des accents
    À l’incompréhension générale, se heurte.
    Et chacun(e) d’imaginer son épitaphe :
    Tombé dignement au champ d’honneur
    En ayant voulu réformer l’orthographe
    Ici git le cœur vaillant de Brave’ heart.

    Longues minutes de silence…

    Quand soudain, titubant
    Se relevait feu le fusillé
    Que l’on croyait mourant.
    Au loin s’évanouit la peine
    Avec un e revint la gaieté
    C’était un faux semblant
    Les balles étaient à blanc.
    Juste une mise en scène…
    Et DO tire sa révérence.

    Bonne chance… à la prochaine ! 😉

  23. DOmino dit :

    Et donc Kahn comme DSK… que de K et il est bien d’en faire cas. 🙂
    Je vous laisse… le mot de la fin.

  24. jmf08 dit :

    Clap, clap, clap…de fin ? 😀

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