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BD inédite
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Mas... noirs et fantômes !

Mas... noirs et fantômes !

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Case 1:Bird 1: ________x <- antenne télé /__ RIM __| Un vieux couple |___|___| tou t juste marié discute de leur nouveau logis. Case 2:Bird 1: Cher ami, à bien y regarder, je ne suis pas"emballée". Vous ne m'aviez pas dit que ce mas était meublé.....de fantômes. Case 3:Bird 1: Ma chère, c'est vite oublier les conseils du maire : pour qu'un couple dure, il faut faire des concessions... à perpétuité !

4 réponses à “Mas... noirs et fantômes !”

  1. Lou dit :

    Pour qu’un couple dure… , peut-être se rencontrer, ne jamais s’oublier, et se lier longtemps après. Je pense au récent mariage de cette toujours belle princesse avec ce célèbre musicien-compositeur, laquelle a déclaré,  » Je crois que l’amour n’est pas une affaire pour les jeunes. Entre le regard des parents, celui de la société ou encore la nécessité de procréer, ils ont du mal a identifier leurs désirs. A mon âge, on n’est plus prisonnier de rien.  » ♥

  2. Nobody dit :

    1♥ par copinage…
    😉

  3. DOmino dit :

    Jolie transition Lou vers cette heureuse nouvelle… liaison ou l’accomplissement d’un cheminement personnel après un parcours de vie semé de questionnements et de points d’interrogations. Une réflexion qui transparaissait déjà dans « Les mots des hommes ». Cette nouvelle vaut bien un roman et plus tard une nouvelle avec la publication de « L’amour dans tous ses états », toujours sous la plume de Macha.

    Pour qu’un duo, pour qu’une entité duelle, pour que l’étincelle dure longtemps… il faut peut-être des ingrédients communs ou individuels, des petits riens comme entretenir les liens et le mystère, se retrouver comme si c’était hier, comme si c’était la première fois. Quand l’amour est roi, c’est être ébloui, jour et nuit mais quand l’amour se noie… l’ennemi c’est l’oubli, l’ennemi c’est l’ennui.

    L’amour donne des ailes, se décline à tous les temps au présent, au passé simple, composé ou recomposé, l’amour est intemporel. Et comme je me plais à le penser, l’amour est plus fort que la mort, est plus fort que le temps. L’amour se lie, tisse ses liens au détour d’un lit, des allées d’un jardin, l’amour se lie selon ses affinités, se lit dans les livres et les lignes de la main. L’amour est subtil, est futile, l’amour est fragile, fut-il inscrit pour trois jours ou pour l’infinité.
    L’amour ce bohème vaut bien mille et un poèmes, érigé en totem concilie, réconcilie les extrêmes, quand il se délie du secret avoue ses sentiments. Tantôt dur, tantôt doux… amer, lourd, léger, pérenne ou éphémère, l’amour bâtit et se défie du temps. Tôt ou tard quand l’amour se libère, se souvient du temps d’avant… hier, du temps de ses premières chimères. L’amour se joue du temps, du temps et des saisons, en vers, en mille versions est un éternel recommencement.

    Les histoires d’A commencent bien, finissent mal en général et ici en particulier LM compte double en particules liées. Attachante romance d’aujourd’hui qui unit, réunit les deux aimants d’hier. Merveilleux tandem ou quand l’âme slave rencontre les accents de Ménilmontant, 50 ans plus tôt ♪♫ Maria Magdalena dansait dans ses bras, un été du côté de Rio de Janeiro, le coeur à fleur de peau, ils se sont dit pourquoi pas ? Près de 50 après réécrivent, réenchantent l’histoire de leur vie échappant ainsi aux sables mouvants, c’est touchant, émouvant. Sans rien fixer, sans se donner de délai, ils ont pris leur temps, ils ont fait leur vie et pendant ce temps le temps ne s’est pas arrêté sur le cadran et pourtant cette longue parenthèse n’a pas pris l’ombre d’une ride. Ont tracé un trait d’union, restée en suspension l’intention a pris forme, ainsi s’accomplit le destin comme s’il inversait le cours des amours contrariées et à la lumière d’un conte de fées, il était une fois… ils se marièrent et… vécurent intensément les choses de la vie. Santé ! À leurs actes manqués, à leurs paris gagnés ! Ont fait de leurs rêves une réalité. Il reste à leur souhaiter toute une éternité de bonheurs, d’attentions sans cesse renouvelés.

    L’Amour c’est fait pour oublier les Nuages du Temps… à la façon d’un rébus nimbus : mon premier l’évoquer, mon second les chasser, mon troisième l’arrêter par ces bulles soufflées… et mon tout commenté fait un long pavé imparfait.

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