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BD inédite
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Fabriquons français

Fabriquons français

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Case 1:Bird 1: On va rapatrier en France toutes nos usines délocalisées autrefois dans les pays en voie de développement | Case 2: Bird 1: Mais pas question qu'on ramène leurs travailleurs avec ! | Case 3: Bird 1: On a déjà ici plein d'immigrés clandestins pour y bosser

5 réponses à “Fabriquons français”

  1. gaveravar dit :

    ♥ Je me trompe peut-être mais comme plus grand monde ne veut travailler maintenant en France si on rapatriait des usines on serait obligés de faire venir des gens de l’étranger pour faire le boulot. Bonsoir tout le monde !

  2. Lokentaz dit :

    Je ne pense pas Gav. Il y a bien trop de gens qui galèrent et qui seraient content de bosser. Les clandestins c’est une autre problème : il y a toute une mafia qui se gave sur le dos des malheureux du monde entier. A commencer par les gros du bâtiments. Ceux-là, ils mériteraient une bonne punition. Si les trafics ne sont pas stoppés c’est parce qu’ils profitent grassement à des gens biens de chez nous. Idem pour la came, les caïds de banlieue ne sont que les fusibles de mecs bien planqués et soit-disant bien sous tout rapports.

  3. Kiosk dit :

    Rappelons à ce propos que de son temps Sarkozy disait qu’il ferait venir de la main d’œuvre immigrée si les travailleurs français se retrouvaient en position de force par rapport au patronat. Façon de tirer les salaires vers le bas et d’empêcher qu’ils remontent. Pas de chance pour ceux qui ont bossé sous Sarko et sont maintenant retraités sous Macron, car Macron, son truc, c’est de piquer aux retraités pour financer ses cadeaux aux riches. Admettez que ça ne donne pas trop envie d’être de droite quand la droite se résume pour l’essentiel à ces escroqueries.

  4. Jojo88 dit :

    @Lokentaz : Ce n’est pas vrai partout, un de nos fils travaille dans une boîte où l’on cherche
    désespérément 80 personnes au minimum depuis des mois, voire des années.
    Des bus, à l’initiative des ANPE locales, amènent quelque fois visiter l’usine
    par groupe de 50 chômeurs en fin de droit ou au RSA.
    Bilan : AU MAXIMUM 3 personnes par groupe se proposent pour faire un essai.
    Au bout de trois jours UN SEUL reste: travail d’équipe, travail trop fatigant, travail parfois aussi le dimanche…
    Tout cela malgré des salaires plus que confortables pour les qualifications … CQFD ! ,)

  5. Lokentaz dit :

    C’est bien triste.

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