Télé caniveau 107
Commentaire de l'auteur
Ça va toujours mieux en le disant.
Rebonds :
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Transcript
Case 1:Bird 1: Ici Jean-Jack Bourrin... Je reçois ma sœur con Alix Cou...Bird 2: Consœur !... Votre consœur ! | Case 2: Bird 1: Oui, aussi... Alix Couillozaguets, les Birds qui ne l'ont pas déjà compris ont le droit de savoir votre rôle sur FrancheInfox. | Case 3: Bird 1: Sucer les boules de la droite et discréditer par tous les moyens la France Insoumise. Et je dis bien par TOUS LES MOYENS !


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Bompard fait toujours un caca nerveux après une interview non lèche-cul. Pauvre chéri. Vaut mieux qu’il arrête la politique s’il est aussi fragile.
Il est seulement triste parce qu’il constate que des femmes peuvent être aussi connes que des mecs, en tout cas à droite.
C’est pas une question de droite ou de gauche. La plupart des journalistes sont là pour faire suer les politiques et c’est très bien comme ça. Les beni-oui-oui c’est chiant et dangereux.
Bonne soirée, Kiosk.
Dans le cas d’Alix Machinchose, il est flagrant qu’elle est là pour servir la droite et chercher à tout prix à dézinguer la gauche. Elle n’a pas du tout le même ton face à un droitardé, toute mielleuse dans ce cas alors qu’elle est hargneuse et criarde face à un Insoumis. Un genre de Ruth Elkrief en plus hystérique, qui n’admet pas qu’on ne lui donne pas raison et encore moins qu’on la reprenne en direct sur ses mensonges. Elle n’a pas ce genre de problème avec ses interviewés de droite car elle est d’accord avec eux sur tout, allant jusqu’à faire semblant de leur poser des questions pour la forme, juste histoire de pouvoir confirmer l’exactitude de leurs réponses.
Pour reprendre votre commentaire, je dirais plutôt que ça ne devrait pas être une question de droite ou gauche. Et que non, le boulot de l’interviewer n’est pas de faire suer les politiciens. C’est de leur faire dire ce qu’ils ont à dire sans langue de bois, sans chercher à débattre avec eux (et encore moins à imposer son propre point de vue !). Sinon ce n’est plus une interview. À l’auditeur de voir s’il est d’accord ou pas avec ce qui a été dit, sans que le journaliste prétende lui dicter l’appréciation qu’il en tirera.