Pas de quoi pour un canard
De lui casser ses trois pattes :
D'Hirson ? Ami ? Est-ce campagnard ?
Mais non bien sûr : Bonsoir cher Pat !

Salut ami Ti Gus,

Entre peinture et proses, la réflexion se repose.

Toutefois, chercher un p'tit coin,
Somme toute, ma foi, quoi de plus naturel
quand on se sent bien mal en point
L'besoin de satisfaire l'désir corporel

N'pas arriver au p'tit endroit
Redoutant que les choses aillent de travers
La rupture, peut-être en soi
Dans l'urgence nulle n'a besoin d'cet enfer

Certes, parfois l'manque de pot
Nécessite l'débit d'eau plus qu'essentiel
Afin de nettoyer l'dépôt,
Ainsi laisser d'autant plus que l'essentiel

Salut Pat !

Afin que le sujet n's'en aille, se perdant,
J'enchaine avec le petit endroit pédant !

Afin que dans vos chausses inconsciemment vous fîtes,
D’urgence sur le pot subrepticement allâtes.
Après que vos affaires à ces tâches subites
Avec précision et conscience terminâtes,
Versez bien dans l’amphore pour qu’elle la nettoyasse
Un courant clairvoyant d’eau pure et hygiénique
Qui près des résidus sera bien efficace.
Ensuite il faudra qu’un couvercle bien hermétique
De forme appropriée et aux coins arrondis
Sur l’urne magnifique aimablement placiez
Pour bien évidemment éviter les on-dit
Et que tous vos voisins ici n’empestassiez.

Bonjour Pat.

- Sans eau ça ne tient pas !
- Sans os ça ne tient pas ?
Bien sûr que ça n'tient pas :
Sans os t'es raplapla !

- Mais non, sans EAU : D'l'eau quoi !
De la bonne eau qu'on boit !
- Alors t'as bien raison :
Mets de l’eau à foison !
Dans l'pot, verss' comme tu veux,
Mais dans l’pastis : un petit peu !

Salut Pat !
Le pastis, je le bois presque sec
Je ne suis peut-être pas un fin bec ?