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BD inédite
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Tourisme : année record pour Paris.

Tourisme : année record pour Paris.

Commentaire de l'auteur

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Case 1:Bird 1: Finalement, le rêve de tout provincial c’est de venir une fois dans sa vie à Paris... Case 2:Bird 1: Passer une soirée au Lido et de repartir avec une petite tour Eiffel en plastique dorée Case 3:Bird 1: à mettre sur sa cheminée.

5 réponses à “Tourisme : année record pour Paris.”

  1. Dame oiselle dit :

    🙂 Finalement le rêve de tout Capitaleux est de venir une fois dans sa vie sur la Côte d’Azur, passer une soirée au Negresco, à Opéra plage se baigner dans la Méditerranée, déguster des beignets de fleurs et de repartir avec une mine dorée, un galet décoré et du sable en bouteille à mettre sur sa cheminée… à Paris, où il ne peut plus faire de feu. :mrgreen:

  2. Flocal93 dit :

    De quoi ? En plastoche ?
    Non, mon ami, du zamak, seulement du zamak, comme ça, je fais croire à mes visiteurs que c’est de l’étain. Non mais !
    Sinon, j’aurais l’air de quoi à me ruiner pour payer la dernière DS4 !!!

  3. jmf08 dit :

    ♥ T’as oublié le musée Grévin et les bateaux-mouches ! 😉

  4. Nobody dit :

    En lisant les commentaires ci-dessus, on peut constater que les auteurs sont des ruraux, ils ont une attitude hautaine vis-à-vis des Parisiens.

    Un jour, dans la campagne, j’ai embourbé mon 4×4. Au XXIème siècle… vous vous rendez compte ?
    😆

  5. Dame oiselle dit :

    Quelle mauvaise foi… toute masculine ou toute parisienne !
    Embourbé avec son 4X4… pffff, encore un conducteur du dimanche qui a trop bu de bourbon. A quoi reconnaît-on un touriste parisien ? C’est le seul à rouler avec les chaînes sur route sèche ! :mrgreen:

    4X4 pollueur, vous ne pouvez pas prendre la charrette comme tout le monde ! 🙂 Mais puisque nous sommes entre gens du monde, que diriez-vous d’un petit tour à bord de mon Falcon 2000 LXS moins gourmand en carburant.
    Dans nos golfs clairs où l’on voit la mer danser, nous les provinciaux prenons la voiturette pour parcourir le green gazonné. Pauvres parisiens blancs comme des cachets, rougissants au moindre rayon, asphyxiés au premier pic de pollution ! 😉

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