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9 réponses à “Le paradoxe subtil de l’attestation, suite”

  1. Maître Corbac « je devrai » futur de l’indicatif, « je devrais » présent du conditionnel.
    À mon sens le futur est plus adapté que le conditionnel présent, car présentement, nous ne sommes plus au conditionnel concernant la signature de l’attestation, mais si on me l’avait dit un jour, à l’époque où on me l’aurait dit, ça aurait été du futur.

  2. jmf08 dit :

    1-Si on lui avait dit qu’un jour il devrait
    2-Si on lui avait dit qu’un jour il devra
    Qu’est-ce qui sonne le mieux ? le 1 ! 😉

  3. Max409 dit :

    Si on nous avait dit qu’un nous devrions…
    Devrons signifierait que l’obligation n’est pas encore en place.

  4. Pégase53 dit :

    Salut Maddie ♥
    C’est tout à fait cela. Le gouvernement, par une manipulation des plus subtiles, fait que la victime devient son propre bourreau. On n’est pas au bout de nos peines !

  5. Je me range à la majorité. Rectifié.

  6. Salut Pégase
    De surcroît, c’est une particularité bien française que ces attestations où l’on s’autorise soi-même
    Comme tu dis, nous ne sommes pas au bout de nos peines

  7. Comment faites-vous vos emojis ? Ceux de mon iPhone disparaissent une fois le commentaire validé, ce qui me laisse une phrase sans ponctuation et sans rien.

  8. Merci mille mercis Jmf! Tu es adorable! Je regarderai à tête reposée!

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