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BD inédite
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franchement, je ne vois pas

franchement, je ne vois pas

Commentaire de l'auteur

https://www.liberation.fr/international/europe/en-direct-retrouvez-les-dernieres-informations-sur-loffensive-russe-en-ukraine-20220310_2MUSWGWLHJD2FKB3CVZAT4FSSA/

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Case 1: | Case 2: Bird 1: Macron condamne un acte de guerre indigne à Marioupol ! | Case 3: Bird 1: Ce qui laisse supposer l'existence d'actes de guerre dignes ?

8 réponses à “franchement, je ne vois pas”

  1. venividivici dit :

    merci de me rendre le crayon 😉

  2. Kabak_85 dit :

    Ben oui, l’hôpital de Kondôz par exemple. 0:-)

  3. fontinusmaximus dit :

    venividivici – 17 FÉVRIER 2022 À 10 H 43 MIN : on frise l’overdose là
    venividivici – 28 FÉVRIER 2022 À 14 H 32 MIN : 2 semaines et pas de réponse ? – foutage de gueule quand même non ?
    venividivici – 21 FÉVRIER 2022 À 13 H 49 MIN : ce serait bien de produire des bd persos et pas pompées sur le net
    venividivici – 21 FÉVRIER 2022 À 13 H 43 MIN : pas inédit
    venividivici – 4 MARS 2022 À 11 H 11 MIN : Tavie est un prénom ?
    venividivici – 5 MARS 2022 À 12 H 12 MIN : tu nous soules
    venividivici – 10 MARS 2022 À 14 H 55 MIN : bd nulle à chier c’est le cas de le dire

    1. Tu te plains tu te plains – 2. Tu confonds modérateur & délateur – 3. Mêle-tout tout le temps – 4. Tu n’est pas César c’est moi – 5. Une forte tendance à friser l’insulte – 6. Ton vocabulaire : gueule, saoules & chier (?)

    Cher vedivinibénivixidixi, je pense que cela suffit. Tu n’es pas obligé de me lire mais surtout : Tu ne m’envoies plus AUCUN commentaire. Il s’agit d’un site pour faire de l’humour et non pour se défouler sur les autres et si tu dois consulter, ce n’est nullement mon souci. Ceci est mon seul AVERTISSEMENT sinon je transmettrai au modérateur en le priant de te bloquer si tu ne peux raison garder.

  4. fontinusmaximus dit :

    Victime d’injures sur un forum, portez plainte !
    Portez plainte pour diffamation ou injures dans les trois mois de la première publication. Une enquête pourra être ouverte et permettra d’identifier l’auteur de l’infraction (grâce notamment aux adresses IP fournies par les hébergeurs et les fournisseurs d’accès à Internet).
    Réunissez des preuves (page Web imprimée ou constat d’huissier).
    Contactez le responsable du forum pour l’informer des propos litigieux. Il les retirera, car il est responsable civilement et pénalement de l’ensemble des messages qui y sont publiés.

  5. fontinusmaximus dit :

    Proférer des insultes constitue un abus de la liberté d’expression répréhensible pénalement.

  6. fontinusmaximus dit :

    Cyberharcèlement – notion de fréquence : comportement répété à l’encontre d’une personne qui évolue vers la frénésie. (cf. psychiatrie, désordres de la personnalité) Il s’agit d’un délit grave, passible de sanctions On peut donc faire valoir nos droits tant qu’il est question de propos insultants, déplacés ou haineux propagés sur un forum, un blog ou une messagerie. Harcèlement en ligne : les sanctions en France
    En France, la loi prévoit des sanctions dans le cadre du harcèlement sur internet. Et ce même si le discours à caractère humiliant ou menaçant n’est diffusé que dans un cadre privé (messagerie privée ou email par exemple). Les sanctions retenues dépendront de l’âge du harceleur comme de celui de la victime. 1er cas : l’auteur du cyberharcèlement est majeur : Dans ce cas, il encourt une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à deux ans. A cela peut s’ajouter une amende maximale de 30.000 €. En outre, si la victime est âgée de 15 ans ou moins, la peine d’emprisonnement pourra être prolongée d’un an. L’amende pourra, quant à elle, se voir rapportée à 45.000 €. 2e cas : l’auteur du cyberharcèlement a entre 13 et 18 ans : Si la victime a au moins 15 ans, un an de prison ferme et une amende de 7.500 euros pourront s’appliquer. Dans le cas d’une victime de moins de 15 ans, 6 mois de prison supplémentaires pourront être appliqués. 3e cas : l’auteur du cyberharcèlement a moins de 13 ans : Dans ce cas, à l’appréciation du juge des enfants, pourront être retenues des sanctions de nature strictement éducative. Aucune amende n’est prévue par la loi. Si le harceleur est mineur au moment des faits, les parents seront automatiquement retenus comme responsables civils. Autrement dit, ce sera à eux d’indemniser directement la victime du cyberharcèlement. Si par ailleurs, cette dernière est elle aussi mineure, l’indemnisation sera versée aux parents.

    Les réseaux sociaux, les blogs et autres hébergeurs de contenus peuvent choisir de retirer le contenu assimilé à du cyberharcèlement (s’il s’agit d’un contenu public, visible de tous sans restriction). La victime tout comme les témoins disposent des moyens nécessaires pour informer les intermédiaires et émettre une demande de retrait de contenu. Dans le cas particulier d’un cyberharcèlement réalisé sur un réseau social (Facebook ou Twitter par exemple), la victime peut en plus bloquer l’auteur des propos insultants. Elle ne pourra plus recevoir aucune forme de message ou de contenu de sa part. Mais la victime dispose d’autres recours pour se retourner contre le harceleur. Elle peut choisir de porter plainte et ainsi faire punir l’auteur des propos émis en ligne. Pour maximiser l’impact de la poursuite, et ses chances d’aboutir favorablement, il convient néanmoins de recueillir un grand nombre de preuves pour soutenir la présence d’un harcèlement en ligne. Les captures d’écran constituent souvent la preuve la plus simple à obtenir. Il est possible de contacter un huissier pour faire valoir l’authenticité des captures d’écran, autrement sujettes à débat par leur caractère falsifiable. Afin de pouvoir porter plainte, la victime devra se rendre dans une gendarmerie ou dans un commissariat. Si l’auteur du harcèlement est inconnu, les identités n’étant pas toujours aisément accessibles en ligne, la victime a la possibilité de porter plainte contre X. Si la victime est mineure, elle devra être accompagnée de ses parents (ou de ses tuteurs légaux) pour déposer sa plainte à la gendarmerie (ou au commissariat). Heureusement, internet permet de prévoir le cyberharcèlement en limitant la visibilité et la circulation de certaines données en ligne. Tous les réseaux sociaux permettent aujourd’hui de déterminer soi-même ses règles de confidentialité.

  7. fontinusmaximus dit :

    In bonum auditor, salus !

  8. venividivici dit :

    @fontinusmaximus tu as raison, je vais t’ignorer , c’est mieux 🙂

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